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La chiropratique : pour qui et pourquoi?

D’année en année, la place qu’occupe la chiropratique dans la vie des familles québécoises est de plus en plus grande. Notre tendance à orienter nos choix de vie vers des solutions naturelles et le travail acharné de la communauté chiropratique à mettre de l’avant cette belle profession y sont pour beaucoup. Le temps où le chiropraticien était consulté seulement pour un dos barré est maintenant révolu! Laissons place à toutes les possibilités que nous offre le suivi chiropratique. Dans cet article, nous nous pencherons sur les différentes raisons pour lesquelles il pourrait vous être bénéfique de consulter en chiropratique.

La chiropratique et ses fondements

La chiropratique tire ses origines de 2 mots grecs :

1. Kheir, qui fait référence aux « mains »
2. Praktikos, qui fait référence à « faire ou exercer »

C’est donc une profession qui base son traitement sur l’utilisation des mains.

Si vous faites des recherches sur le sujet, vous découvrirez que la chiropratique est une science, un art et une philosophie :

  • La science établit les faits sur la validité de cette profession
  • L’art permet au chiropraticien d’utiliser ses mains de façon exceptionnelle pour traiter son patient
  • La philosophie met la santé globale au premier plan en évitant de focaliser seulement sur le traitement de la douleur

L’objectif principal de la chiropratique est de favoriser la récupération et le maintien de la santé globale. Pour y parvenir, le chiropraticien met l’emphase sur la fonction du système nerveux. Puisque ce dernier assure le fonctionnement de tous les autres systèmes du corps humain, il est en effet primordial qu’il puisse opérer de façon optimale. En effet, ce système maître ne pourrait pas permettre aux systèmes qui dépendent de lui (système respiratoire, système digestif, système circulatoire, système endocrinien) de fonctionner optimalement sans qu’il puisse lui-même le faire, n’est-ce pas?

Pour que le système nerveux puisse fonctionner optimalement, il doit être libre d’interférence afin que son influx puisse circuler aisément partout dans le corps humain et se transmettre d’un système à l’autre.

Pour y parvenir, le chiropraticien s’attarde entre autres aux interférences situées au niveau de la colonne vertébrale. Ces interférences portent le nom de subluxation vertébrale et sont généralement associées à une perte de mouvement vertébral (avec ou sans douleur). Puisqu’à la base, le mouvement vertébral n’est pas très grand, la perte de mouvement n’a pas besoin d’être très grande pour créer une subluxation.

La subluxation peut être causée de différentes façons et engendrer différents symptômes :

Causes physiques :

Causes chimiques (les toxines perturbent l’équilibre chimique et s’accumulent dans le corps, réduisant ainsi sa résistance physique) :

Causes émotionnelles (émotions négatives) :

Symptômes associés (avec sou sans douleur, avec ou sans inflammation) :

Puisque la subluxation peut interférer avec le bon fonctionnement du système nerveux et que la vision chiropratique met l’emphase sur le bien-être global, vous comprenez maintenant qu’elle n’a pas qu’un rôle de soulagement! Lisez bien les prochaines lignes!

La chiropratique : à la fois préventive et curative

Comme mentionné précédemment, la subluxation et la perte de mouvement vertébral ne créent pas nécessairement de douleur. Bien qu’elles soient présentes, leurs conséquences ne sont pas toujours perceptibles et c’est ce qui rend encore certaines personnes perplexes lorsqu’on aborde le sujet d’un suivi chiropratique sans pour autant avoir une douleur quelque part.

En effet, nous avons été “habitué” à intervenir dans les moments où c’était “vraiment nécessaire”, et ce “vraiment nécessaire” a souvent été associé à un état de douleur limitant et dérangeant. Nous avons donc appris à ignorer la douleur, à la tolérer et à vivre avec.

Avec sa vision globale, la chiropratique met de l’avant un mode de pensée axé sur la prévention, le maintien et l’optimisation de la santé. En conséquence, elle ne s’attarde pas juste à la sensation de douleur et aux limitations que celles-ci imposent. C’est ce qui, selon nous, la place dans une classe à part puisqu’elle peut intervenir en amont et non seulement lorsque son patient atteint un état douloureux.

C’est le rôle préventif de la chiropratique, et à notre sens, il est tout aussi important que son rôle curatif.

En bénéficiant d’un suivi chiropratique à titre préventif, les chances qu’une condition douloureuse s’installe deviennent moins présentes et si c’est le cas, leur risque de persistance et de récurrence devient moins grand. Tout le monde y gagne, non? De plus, la prévention met en lumière le côté économique du suivi chiropratique, puisque si le corps est davantage préparé à contrer la récidive et la récurrence, les coûts liés au traitement d’une condition pourraient diminuer eux aussi.

La chiropratique et les conditions douloureuses

Au Québec, le chiropraticien obtient son diplôme après avoir réussi un doctorat de premier cycle en chiropratique. Ce diplôme lui accorde le droit d’évaluer, diagnostiquer et traiter des conditions d’ordre chiropratiques et neuromusculosquelettiques. En conséquence, il peut être judicieux de l’inclure dans votre cercle de professionnels de la santé si vous souffrez de diverses conditions de santé comme celles-ci :

Outre sa capacité à évaluer, diagnostiquer et traiter les conditions d’ordre neuromusculosquelettique, le chiropraticien a une vision globale de la santé et peut donner d’excellents conseils pour améliorer la qualité de vie de ses patients. La pratique chiropratique prône les saines habitudes de vie, donc le chiropraticien pourra, conjointement avec son suivi, aborder différents sujets :

Une vision globale pour soulager, maintenir et prévenir les conditions d’origine neuromusculosquelettique, quoi de mieux pour venir en aide à la communauté?!?!

La chiropratique : une clientèle diversifiée

Les conditions neuromusculosquelettiques peuvent toucher tous les groupes d’âge. En effet, le bébé naissant qui a un torticolis congénital et la personne âgée qui a mal à la hanche sont 2 exemples qui le démontrent clairement. Lorsque la cause est d’origine chiropratique, le suivi chiropratique lui-même est tout indiqué. Il n’y a donc pas d’âge “minimum” ou “limite” pour être suivi en chiropratique. Tant que l’évaluation démontre qu’il s’agit d’une condition traitable en chiropratique, qu’il n’y a pas de contre-indication au traitement et qu’il y a un consentement au suivi proposé, chaque individu peut bénéficier des connaissances et aptitudes du chiropraticien. La chiropratique est vraiment inclusive, n’est-ce pas?

Considérant les vastes possibilités associées au suivi chiropratique, nul doute que vous pourrez en bénéficier!

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La méditation: un outil formidable à mettre en pratique

La réputation de la méditation n’est plus à faire. Ses bienfaits sont reconnus partout et ses adeptes sont de plus en plus nombreux à travers le monde. Avec les changements de luminosité de l’automne, les dommages collatéraux laissés par la pandémie et la frénésie de Noël qui nous éloigne parfois de la nature elle-même de cette fête, la méditation pourrait très bien vous servir d’ancrage afin de rester connecté. Cet article met en lumière les bienfaits liés à la méditation. Lisez jusqu’à la fin… d’autres trucs vous seront donnés!

Une pratique ancienne aux multiples bienfaits

Être dans le moment présent. Éloigner les pensées négatives. Prendre du temps pour soi. Peu importe les raisons pour lesquelles on pratique la méditation, il n’y a que des bienfaits qui en ressortent. Avez-vous déjà entendu quelqu’un dire que la méditation lui avait fait avoir des effets négatifs? Pas vraiment. Pour certains, elle peut sembler inefficace, mais elle ne crée certainement pas de “dommages”. Les effets positifs de cette pratique sont décrits ici :

1. Prendre du recul

En pratiquant la méditation, on se focalise sur le moment présent. Le silence, le calme et la sérénité dans laquelle on se plonge permettent une prise de conscience sur les évènements qui nous entoure. Par la suite, notre esprit est plus à l’écoute de notre environnement. Puisqu’on vit dans un monde où tout va vite, la méditation aide à prendre le recul nécessaire pour voir les choses autrement.

2. Être positif

Pour certains, le trouble d’humeur saisonnière et les séquelles de la pandémie n’aident pas à mettre du positif dans le quotidien. La méditation aide à promouvoir le positivisme en prenant conscience des choses bénéfiques qui nous entourent. L’hippocampe et le lobe frontal, des zones cérébrales impliquées dans les émotions, augmenteraient en volume avec la pratique de la méditation. Finie, la grisaille de novembre. On regarde en avant!

3. Apprécier ce qu’on a

La vie va vite. On en veut parfois plus sans que ce soit nécessaire. La méditation agit positivement sur la gestion du stress et puisqu’on devient moins stressé, nos choix sont plus éclairés et conscients. Avec le recul, l’impulsivité prend le large. Quoi de mieux que d’apprécier ce qu’on a, spécialement à l’arrivée des Fêtes?

4. Améliorer sa confiance en soi

La pratique de la méditation aide à l’introspection. Si les derniers mois ont été plus difficiles (perte d’emploi, séparation, difficultés financières, solitude), laisser aller ses émotions réelles lors d’une séance de méditation pourrait faciliter l’accès à votre vraie nature. En conséquence, vos agissements seront les bons pour vous, vous exprimerez vos réelles émotions et vous gagnerez en confiance.

5. Stimuler le système nerveux positivement

L’appétit vient en mangeant! Puisque le système nerveux est modulable et adaptable, le fait de se trouver dans un état d’esprit positif le mène à créer des connexions neuronales “positives” elles aussi. C’est une façon imagée et simpliste de vous faire comprendre que lorsque vous vous trouvez dans un état d’esprit qui vous fait du bien, vous avez tout à gagner en tentant de le reproduire le plus souvent. En découleront un automatisme et un bien-être quotidien. C’est aussi ça, la méditation!

À l’action!

La méditation est nouvelle pour vous et vous ne savez pas comment l’introduire dans votre quotidien? Si votre désir de l’intégrer à votre quotidien est en partie motivé par la recherche du calme, ne commencez surtout pas à vous stresser avec ça! Ce serait donc la première leçon : laissez aller votre intuition!

Il y a la méditation telle qu’on la connaît, c’est-à-dire celle où l’on se voit assis en position du tailleur avec les mains sur les genoux, avec de la musique ou des paroles qu’on écoute. Ceci étant dit, vous pouvez laisser aller votre intuition et vous asseoir confortablement dans une chaise pour débuter. Vous permettre de le faire est déjà un excellent pas, n’est-ce pas?

Étape 1

Trouvez le bon moment

Le matin? En fin de journée? Avant le coucher? Il n’y a que vous qui savez ce qui est bon pour vous. Essayez et vous verrez ce qui vous convient le mieux. Cette étape est essentielle afin de rendre l’exercice agréable.

Étape 2

Créez un environnement propice

Rendre la pratique de la médiation optimale passe nécessairement par un environnement optimal. L’endroit doit être paisible. Votre chambre à coucher, le salon, le bord de l’eau ou l’arrière de la cour. Peu importe, assurez-vous qu’il vous convienne. Vous voulez mettre une ambiance? Tamisez les lumières et allumez des chandelles! Le silence devra être de la partie!

Étape 3

Préparez votre mental

Vous arrivez du travail, la marmaille débarque de l’autobus et le tourbillon de la routine vous encombre l’esprit avant votre séance de méditation prévue au bord de l’eau? Ce n’est peut-être pas le moment idéal, mais seulement vous, pouvez le découvrir. Prenez quelques minutes avant de débuter. Pourquoi ne pas relaxer un peu avant de débuter? Voyez cet exercice comme une “pré-méditation”. Accordez-vous le droit de débuter de la bonne façon.

Étape 4

Installez-vous confortablement

Comme mentionné plus haut, la posture habituelle de la méditation est celle où l’on se retrouve assis en position du tailleur. Nous vous proposons encore une fois d’écouter vos besoins. La séance ne sera pas moins bénéfique si vous n’êtes pas dans cette position. L’important est que vous puissiez entrer en contact avec votre propre intérieur, alors focalisez sur ce qui est bon pour vous. Même si la posture est le premier pilier de la méditation, rien n’empêche de procéder par étapes.

Étape 5

Entrez en connexion

Vous pouvez avoir les yeux mi-clos avec un regard vers le sol, mais s’il est toujours détourné, fermez-les complètement. Gardez votre attention sur votre respiration, de façon à ce qu’elle soit légère et douce, comme la brise du vent au bord de la mer. Acceptez les pensées qui arrivent dans votre esprit sans les chasser ou les refuser. Si elles y sont, c’est qu’elles ont une raison d’être. Graduellement, vous serez en mesure de les comprendre et de leur trouver un sens. Les bienfaits notés plus haut ressortiront.

Un autre truc pour vous aider

Outre la médiation, la respiration par cohérence cardiaque a des effets positifs sur le stress et la santé en général. Nous ne pouvons la passer sous silence afin de vous aider à optimiser votre santé.

Le principe de la cohérence cardiaque est comme un balancier qui régule le rythme cardiaque pour l’amener à une fréquence bénéfique pour le corps humain en se synchronisant avec la respiration. Le nombre à retenir est le 365.

  • 3 fois par jour, l’exercice sera fait.
  • 6 respirations seront faites chaque minute (5 secondes d’inspiration et 5 secondes d’expiration)
  • 5 minutes seront accordées à l’exercice

Allez! Bâtissez-vous votre propre routine!

 

Sources, telles que consultées le 28 octobre 2022
https://monchiro.ca/blogue/10preuvesmeditation/

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Découvrez les bienfaits insoupçonnés de la chiropratique pour votre enfant

De la conception à l’âge adulte, l’enfant se transforme d’une façon exceptionnelle. Vous êtes-vous déjà arrêté à y penser? Après un développement intra-utérin de 9 mois, il naît, grandit, apprend à marcher, courir, manger, parler, interagir avec les autres et a une capacité d’apprentissage sans fin. La chiropratique peut jouer un rôle intéressant afin d’optimiser le développement de chacune de ces étapes et cet article vous permettra de découvrir pourquoi.

Vous voulez ce qu’il y a de mieux pour votre enfant, nous le savons!

Tout comme l’adulte, l’enfant possède une colonne vertébrale, n’est-ce pas? Elle est en croissance et subit d’importants changements au fil des années. Afin de supporter son développement et optimiser la fonction de son système neuromusculosquelettique, la chiropratique pourrait être une excellente option à envisager pour le bien-être de votre enfant.

À la base, la chiropratique a pour objectif d’optimiser la fonction du système nerveux, et ce, que le corps exprime une douleur ou non. Il n’est donc pas nécessaire d’attendre qu’une condition particulière ou une douleur apparaissent pour consulter.

Si le concept d’optimisation est de plus en plus pris en considération pour la clientèle adulte, il doit encore se tailler une place dans la mentalité des parents. Les nouveau-nés, les enfants et les adolescents auraient tout avantage à avoir une santé neurovertébrale optimale afin que leur développement soit optimal lui aussi.

Ne l’oubliez pas : la santé n’est pas seulement l’absence de maladie!

Bien que l’accouchement soit un moment exceptionnel, la naissance représente un traumatisme obligé pour l’enfant. Par voie naturelle ou par césarienne, la force de traction créée sur sa tête pour le sortir peut engendrer des restrictions cervicales. Elles ne sont pas apparentes et l’enfant ne s’en plaint pas, mais l’expertise et les mains de votre chiropraticien pourraient détecter la présence de subluxations vertébrales. À long terme, ces dernières pourraient quant à elles avoir une influence négative sur la santé neurovertébrale de votre enfant.

Outre la traction sur la tête lors de l’accouchement, voici ce qui pourrait avoir un impact sur la santé neurovertébrale de votre enfant avant l’accouchement :

  • Position intra-utérine normale mais restreinte
  • Position intra-utérine en siège
  • Subluxation vertébrale chez la mère
  • Chute de la mère pendant la grossesse

Vous comprendrez que la mère et l’enfant ne font qu’un. Si l’optimisation est envisagée pour le bébé, elle devrait l’être également pour celle qui le porte puisque sa propre santé impactera celle de son bébé!

Pendant la grossesse, la chiropratique pourrait aider à :

  • Favoriser un bon positionnement de l’enfant dans l’utérus de la mère
  • Diminuer du temps de travail lors de l’accouchement (une étude a démontré une diminution de 23 % du temps de travail chez la primipare et de 39 % chez la multipare)
  • Soulager certaines douleurs pour la mère

Comment la chiropratique pourrait-elle aider mon enfant?

Comme mentionné d’entrée de jeu, la chiropratique aide les troubles neuromusculosquelettiques et ces derniers ne sont pas toujours ressentis ou perceptibles. Encore moins chez un nourrisson. Pour cette raison, une consultation en chiropratique dès la naissance pourrait avoir des bienfaits insoupçonnés pour votre enfant.

1. Chez le nourrisson

  • Optimisation de la santé neurovertébrale
  • Torticolis congénital (spasme du muscle sternocléidomastoïdien)
  • Difficulté d’allaitement (importance de faire un examen neuromosculosquelettique de l’enfant et de la mère)
  • Plagiocéphalie (difformité de la tête, tête plate)
  • Irritabilité, inconfort, pleurs fréquents

2. Chez le bébé

  • Optimisation de la santé neurovertébrale
  • Aide au développement moteur
  • Posture inégale (épaules inégales)
  • Chutes fréquentes

3. Chez l’enfant

  • Optimisation de la santé neurovertébrale
  • Douleurs neuromusculosquelettiques
  • Trouble de posture (épaules inégales, apparence de colonne en forme de S)
  • Maux de tête
  • Chutes et traumatismes
  • Boiterie

4. Chez l’adolescent

La chiropratique : des soins adaptés à votre enfant

Pendant son parcours académique, votre chiropraticien développe l’expertise nécessaire pour évaluer une condition neuromusculosquelettique, émettre un diagnostic chiropratique et effectuer un traitement chiropratique approprié. Avec un doctorat de premier cycle en chiropratique, nul doute qu’il est un professionnel qualifié pour favoriser le bien-être de votre enfant! Selon la condition, il pourra même suggérer une collaboration ou une référence à d’autres professionnels de la santé afin de permettre le meilleur suivi possible.

Votre chiropraticien connaît donc toutes les étapes de développement de l’enfant. Il est conscient de l’immaturité des structures avec lesquelles il travaille. En conséquence, son suivi est adapté.

  • Manipulations utilisant moins de vitesse que chez l’adulte, adaptées à la maturité des structures
  • Manipulations utilisant moins de force que chez l’adulte, adaptées à la maturité des structures
  • Amplitudes de mouvements adaptées à celles des articulations qu’il traite
  • Exercices adaptés aux capacités du nourrisson, de l’enfant ou de l’adolescent qui le consulte
  • Manipulations très douces : le bout de l’ongle du chiropraticien devient à peine blanc lorsqu’il appuie sur la structure à traiter chez le nourrisson

Que puis-je faire pour favoriser une bonne santé neurovertébrale de mon enfant à la maison?

Le chiropraticien voit la santé d’une façon globale. En conséquence, il ne demande qu’à collaborer avec chacun des membres de la famille afin de maximiser la santé de tous, y compris celle de votre enfant.

L’hygiène de vie est un concept assez large, mais voici quelques conseils à mettre en place au quotidien pour votre enfant :

  • Éduquez-le très tôt quant aux bonnes habitudes posturales (principalement lors de l’utilisation des technologies chez les plus vieux)
  • Favorisez une bonne routine de sommeil
  • Offrez-lui un oreiller adapté
  • Conscientisez-le au concept de douleur (n’oubliez pas: la santé n’est pas que l’absence de maladie)
  • Évitez de laisser votre nourrisson dans une même posture de façon prolongée
  • Pour les enfants d’âge scolaire, assurez-vous que leur sac à dos soit ajusté et d’un poids adapté
  • Stimulez son système nerveux en faisant des jeux d’équilibre et d’agilité

Vous avez des questions relatives aux bienfaits de la chiropratique pour votre enfant? N’hésitez pas à demander conseil à votre chiropraticien! Son expertise saura sans doute vous guider!

 

Sources, telles que consultées le 8 août 2022 :
Fallon J. (1991). The Effect of Chiropractic Treatment on Pregnancy and Labour: A Comprehensive Study. Proceedings of the World Federation of Chiropractic. 24-31.

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Alimentation pleine conscience : découvrez 6 trucs faciles pour l’intégrer dans votre quotidien

Connaissez-vous le concept de pleine conscience? Il gagne en popularité depuis les dernières années et comporte de nombreux avantages.

La pleine conscience nous permet de porter une attention intentionnelle et sans jugement à notre environnement et nos choix. Elle nous permet d’être conscients et dans le moment présent. Elle peut donc s’appliquer à chaque besoin devant être comblé, y compris ceux qui ont trait à l’alimentation.

Dans cet article, vous découvrirez comment optimiser votre alimentation en y intégrant cette technique. Si vous désirez améliorer vos habitudes alimentaires, elle pourrait être une excellente façon d’y parvenir. L’alimentation en pleine conscience vous amènera sans aucun doute à respecter les besoins de votre corps et à les comprendre, sans compromettre le plaisir de manger.

L’alimentation pleine conscience, c’est quoi exactement?

Le principe de l’alimentation pleine conscience est fort simple. Le contraire serait étonnant puisque son objectif est lui-même de simplifier les décisions alimentaires.

En faisant référence à la pleine conscience, la seule indication est d’écouter ce que votre corps vous demande dans le moment présent et reconnaître pourquoi vous avez envie de manger tel ou tel aliment. Sans jugement, avec intention et en connexion avec soi.

Pour y parvenir, vous devez être à l’écoute de votre environnement.

  • Environnement externe : Est-ce un milieu propice? (ex. : loin des stimulations, des écrans, sans distraction)
  • Environnement interne : Ai-je conscience de mes émotions? (ex. : manger ses émotions, choisir un aliment pour les mauvaises raisons)
  • Environnement physique : Reconnaître le sentiment réel de faim, dans le moment présent

Une fois en accord avec les réponses à ces questions, vous êtes en mesure de mettre votre alimentation en mode pleine conscience.

Alimentation pleine conscience : une foule de bienfaits

L’adoption de l’alimentation pleine conscience permet de considérer les aspects physiologique, social et environnemental associés à l’alimentation, ce qui rend les bons signaux plus faciles à interpréter au fil du temps. En conséquence, les choix deviennent davantage conscients et bénéfiques!

Voici comment ces différents aspects sont stimulés :

  • Stimulation sensorielle : odeurs et saveurs qui vous attirent.
  • Écoute des besoins nutritionnels : être à l’affût des signaux de faim et de satiété.
  • Écoute des émotions : être dans un état de bien-être, conscient et dans le moment présent.
  • Évaluer l’environnement : être conscient du contexte social dans lequel on se retrouve.

Puisque nous sommes dans une ère où les journées se déroulent toutes plus vite les unes que les autres, la pleine conscience pourrait être une excellente façon d’adapter votre alimentation vers un mode plus senti, doux et conscient.

Une décision à la fois, il est possible de revenir à la base et découvrir la multitude de bienfaits liés à l’alimentation pleine conscience :

  • Rapport à l’alimentation plus sain
  • Meilleure acceptation de soi
  • Meilleure confiance en soi (plus on s’écoute, plus la confiance s’installe)
  • Diminution de la frénésie alimentaire (rages)
  • Vivre dans le moment présent
  • Être à l’écoute de soi
  • Diminution possible du stress, surtout celui associé aux repas
  • Diminution du sentiment de culpabilité, puisqu’en étant conscients de nos choix, il est plus facile de les assumer.
  • Plaisir de manger
  • Digestion plus facile en mangeant des portions qui nous conviennent et ne surchargent pas, tout en mangeant plus lentement.
  • Meilleur sommeil , puisque vous écouterez davantage vos signaux de faim et de satiété et que votre digestion sera meilleure tout au long de la journée.

Nos 6 trucs faciles pour intégrer l’alimentation pleine conscience dans votre quotidien

1- Soyez conscients

Mangez quand vous avez faim et cessez lorsque vous êtes rassasiés (et non plein). Ces 2 critères sont les principaux puisque c’est à partir de là que tout débute. Même si l’heure du repas n’est pas arrivée, mieux vaut vous écouter en pleine conscience et manger ce qui vous convient à ce moment. Vous réaliserez par la suite que c’était le choix à faire et que votre repas n’a pas été gâché pour autant.

Questionnez-vous avant et pendant le repas :

  • Comment est ma faim? Ai-je encore faim? Ne pas écouter ces signaux aura nécessairement un impact sur votre santé intestinale.
  • Est-ce que mon environnement est favorable?
  • Est-ce que je suis en train de tomber dans une échappatoire de routine ou mon besoin est réel?

2- Optimisez votre environnement

Comme mentionné d’entrée de jeu, l’alimentation pleine conscience met l’emphase sur l’environnement. Éloignez toute source de stimulation non nécessaire comme les écrans.

Vous est-il déjà arrivé de constater que vous aviez terminé votre assiette sans réellement vous en rendre compte? Considérez-vous qu’il s’agisse de la meilleure façon de déguster et d’être conscients de vos choix? Gageons que vous connaissez la réponse, non?

Favorisez un environnement calme, laissant la place entière au repas et individus avec lesquels vous le partagez.

Si vous vivez seul, nous vous suggérons de débuter graduellement :

  • Si vous avez l’habitude de manger devant la télévision, commencez par manger l’entrée sans l’écran. Prenez le temps de déguster et goûter les saveurs. Terminer le repas devant la télévision et graduellement, coupez le temps d’écran pour finir par l’éliminer complètement.

3- Ayez toujours des aliments que vous aimez à portée de main

Cette habitude vous permettra de combler vos besoins (conscients) dès que vous aurez déterminé que c’est le temps de manger. Ainsi, vous éviterez les écarts.

4- Prenez le temps nécessaire

Manger est un besoin essentiel. Assumez ce besoin et ne le négligez pas en coupant sur le temps que vous lui accordez.

  • Asseyez-vous confortablement.
  • Accordez 20 minutes à votre repas. Saviez-vous que votre corps a besoin de ce temps pour détecter l’état de satiété?
  • Mâchez lentement. Vous optimiserez votre digestion et goûterez davantage les aliments. S’alimenter devrait être une expérience sensorielle à chaque fois!
  • Déposez vos ustensiles entre les bouchées et appréciez le moment.

5- Donnez-vous le droit

La pleine conscience, c’est se donner le droit. Si l’analyse de votre environnement vous indique que vos émotions sont les bonnes et que le contexte extérieur vous convient, votre choix alimentaire est le bon. Qu’il s’agisse d’une pointe de tarte ou d’une pomme, ça n’a pas d’importance. Si vous réalisez que vous avez des habitudes nocives, acceptez-les. Elles changeront avec le temps. Si vous connectez vos émotions avec les besoins fondamentaux de votre corps, vous y parviendrez.

6- Soyez indulgents

Apporter des changements à une pratique établie depuis longtemps peut demander du temps. C’est normal. Pourquoi ne pas commencer par un repas par jour? Choisissez celui avec lequel vous êtes le plus à l’aise et mettez en pratique les trucs mentionnés plus haut. Surtout, n’oubliez pas le 6e!

L’alimentation pleine conscience n’a que des bienfaits sur le long terme. Elle permet un retour aux sources, aide à reconnecter avec les besoins fondamentaux et est une excellente alliée pour une santé optimale. Gageons qu’une fois adoptée, vous ne pourrez plus vous en passer!

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13 bienfaits qui vous feront adopter la marche sans hésiter

La marche est l’un des exercices physiques les plus accessibles et les moins coûteux qui existe. Malgré ses allures assez relaxes, la marche apporte de nombreux bénéfices dont certains sont assez surprenants.

Découvrez dans cet article 13 bienfaits de la marche et 5 façons de la pratiquer au quotidien.

Selon les recommandations officielles, nous devrions faire 30 minutes d’activité physique modérée (comme la marche) chaque jour ou trois séances de 90 minutes à intensité élevée (comme la course) par semaine. Voici quelques bénéfices que vous apportera la marche quotidienne.

  1. Améliore le tonus musculaire, la fonction articulaire et l’équilibre. La marche aide à combattre les effets de la sédentarité. Que vous y alliez d’un pas rapide ou que vous fassiez simplement une balade, la marche permet d’activer les circuits neuronaux associés à votre sens de l’équilibre et renforce la musculature des jambes et du tronc. Elle permet aussi de lubrifier les articulations, ce qui réduit les douleurs arthritiques et la rigidité.
  2. Favorise une bonne santé cardio-vasculaire et respiratoire. La marche augmente l’apport en oxygène au cerveau et au cœur, tout en réduisant une pression artérielle trop haute. Elle a aussi été démontrée bénéfique chez les personnes souffrant de problèmes pulmonaires.
  3. Augmente l’espérance de vie. De 20 à 30 minutes de marche par jour rallongeraient la vie de 3 à 7 ans. C’est encore mieux si on combine cette activité à un autre exercice physique.
  4. Augmente l’énergie. L’exercice physique en général est une bonne source d’énergie. Parce que le corps bouge, s’oxygène et fonctionne mieux, il dépense moins d’énergie à tenter de rétablir un équilibre, de diminuer des taux de sucre élevés, de combattre des infections, etc.
  5. Augmente les fonctions immunitaires. La marche quotidienne peut aider à protéger contre les infections saisonnières en renforçant le système immunitaire. Une étude a démontré que les personnes qui faisaient au moins 20 minutes de marche par jour, 5 jours par semaine, avaient 43 % moins de risque d’être malades. Et si elles le sont, les symptômes s’avèrent moins importants et la récupération est plus rapide.
  6. Facilite la digestion. La marche régulière améliore la mobilité intestinale et gastrique, ce qui augmente la régularité.
  7. Agit sur les émotions et l’humeur. En plus de profiter de la lumière et d’une production de vitamine D, les marcheurs augmentent leur production d’endorphines, les hormones du bien-être. Des recherches ont aussi démontré que la marche modifiait le système nerveux de façon à réduire la colère et l’anxiété.
  8. Augmente la créativité. La marche aide à résoudre les problèmes et augmente la créativité. Elle favorise aussi une bonne mémoire. Il s’agit là d’une belle option lorsqu’on doit réfléchir et prendre une décision.
  9. Améliore le sommeil. L’exercice physique améliore le sommeil, particulièrement s’il est accompli tôt le matin. Donc, si vous souffrez d’insomnie, une petite marche matinale quotidienne pourrait s’avérer très bénéfique!
  10. Aide à réduire le tour de taille. Même si le chiffre sur la balance ne bouge pas, il est possible que le tour de taille du marcheur quotidien diminue. La marche améliore la réponse à l’insuline, ce qui aide à réduire le gras abdominal. Elle favorise ainsi une perte de poids saine et un maintien de poids santé.
  11. Réduit les risques de maladies chroniques. Parce qu’elle favorise d’abord une bonne santé cardio-vasculaire, la marche permet de réduire le risque d’infarctus ou d’AVC. Et en réduisant les envies de sucre, elle aide en plus à maintenir un bon taux de sucre dans le sang, ce qui contribue à prévenir le diabète de type 2, l’obésité et le syndrome métabolique.
  12. Améliore l’apparence des jambes. La marche s’est avérée efficace pour réduire l’apparition de veines, de veinules, de varices et de varicosités sur les jambes. Grâce à un meilleur tonus musculaire, une diminution de la pression artérielle et une meilleure efficacité du cœur, le retour sanguin des jambes vers le cœur se fait plus facilement.
  13. Augmente le niveau de confiance en soi. Établir des objectifs de marche et s’y tenir augmente les chances d’adopter d’autres comportements sains. Se faisant, on augmente la confiance en soi et les chances d’avoir un meilleur style de vie en général.

Qui a dit que marcher était ennuyant? Essayez ces 5 différentes façons de pratiquer la marche pour garder la motivation et en retirer des bénéfices.

  1. La marche nordique. Il s’agit d’une forme de marche dynamique exécutée avec des bâtons de marche. Elle convient à tous les niveaux de marcheur et est sécuritaire pour les personnes dont l’équilibre est plus précaire. Elle fait travailler plus de 90 % des muscles du corps tout en réduisant le poids sur les articulations. Il existe des clubs et des groupes un peu partout dans la province.
  2. La marche méditative. Il s’agit d’une forme de méditation pleine conscience. Le marcheur est invité à se concentrer sur ce qu’il voit, ce qu’il sent, ce qu’il entend, etc. Cela permet au cerveau de porter son attention sur son hémisphère droit, ce qui est bénéfique pour améliorer l’humeur, gérer le stress et réduire les émotions négatives.
  3. La réunion-marche. Pourquoi ne pas faire votre meeting d’équipe en marchant au lieu de rester assis au bureau? Ce type de rencontre gagne en popularité, car la marche améliore les fonctions cognitives, la créativité, l’énergie et la productivité. Quel employeur dirait non à cela?
  4. La marche en forêt. La marche en forêt ajoute un petit côté zen, n’est-ce pas? Elle permet, en plus de prendre un bon bol d’air frais, de contempler la nature et de se connecter avec l’environnement. La randonnée en montagne se solde la plupart de temps par une vue magnifique. L’automne, la forêt de feuillus nous en fait voir de toutes les couleurs!
  5. La marche sociale. Pas obligé de marcher seul. En donnant rendez-vous à un ami ou en transformant la marche en activité de couple, on renforce les liens sociaux, on garde la motivation et on brise la monotonie.

Peu importe la façon dont vous choisirez de pratiquer cette activité, l’important est de garder une constance. Fixez-vous des objectifs réalisables et surveillez votre progression afin de rester motivé.

Bonne marche!

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